Ministero per i Beni |
Soprintendenza
per i Beni Archeologici |
Home Le Musée |
Museo Archeologico Nazionale Sarsinate
Addressé | Via Cesio Sabino, n. 39 - 47027 SARSINA (FC) | |
Tel. | +39 0547 94641 | |
Horaires
d'ouvertures aux publiques ferme le lundi |
Du mardì au dimance, feries compris, au suivante horaries: - du 1° Octobre au 31 Mai: ouvert del 8H 30 a 13H 30 - du 1° Juin au 30 September: ouvert del 13H 30 a 18H 30 |
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Jours fériés de fermeture: 1° Mai, Noel, Jour de l'an | ||
Entrée | Adultes
(de
25 a 65 ans): € 2,00 Réduit (de 18 a 25 ans): € 1,00 Mineurs de 18 ans ed au dessus de 65 ans: gratuit |
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Directeur | Dott.ssa Chiara Guarnieri | |
Autres informations |
Soprintendenza
per i Beni Archeologici dell'Emilia Romagna Via Belle Arti, 52 40126 BOLOGNA http://www.archeobo.arti.beniculturali.it E-mail: archeobo@arti.beniculturali.it Tel. +39 051 223773 / 220675 / 224402 Fax +39 051 227170 |
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Visite
virtuel du Musée |
Le Musée Rez-de-chaussée 1er Etage 2e Etage |
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L'apareil didactique |
Histoire
de Sarsina Le decouvertes dans la ville Le Musée Archéologique Les fouilles archéologiques de Pian di Bezzo Topographie de la nécropole |
Typologie
des sépultures Les rites funéraires romains Les divinités orientales Les murs d'enceinte |
Publication |
Mausoleo di Rufus (Ministero per i Beni e le Attività Culturali - Museo Archeologico Nazionale Sarsinate) |
Il s'agit sans
doute d'un des musées archéologiques les plus importants de l'Italie du
Nord, grâce à la richesse et à la varieté des pièces qu'il contient. Le musée fut fondé en 1890 par Antonio Santarelli, de Forlì, qui ordonna une riche collection d'inscriptions romaines, pour la plupart décrites par l'humaniste Filippo Antonini dans son oeuvre "Le antichità di Sarsina", publié en 1607. Le Musée s'est agrandi grâce aux fouilles archéologiques de la nécropole de Pian di Bezzo, près de Sarsina, qui ont mis au jour des grands monuments funéraires et, ensuite, grâce à la decouverte de materiels récupérés à l'intérieur de la ville. En 1957 il a été acquis par l'Etat et, ensuite, il a été arrangé plusieurs fois. Pendant les années 80, grâce à la collaboration de la Mairie de Sarsina, la Soprintendenza Archeologica di Bologna a ultérieurement agrandi les espaces expositifs. Cette restructuration a permis de rassembler entièrement les principaux monuments funéraires et d'organiser une nouvelle exposition des collections. Les récoltes du musée, qui viennent presque exclusivement de Sarsina et des alentours, appartiennent en particulier à l'époque romaine, même si elles couvrent un arc archéologique qui va de la préhistoire à la haute antiquité. Le parcours expositif commence par un group nombreux d'épigraphes funéraires qui offrent un tableau de la socièté de l'ancienne Sassina, à travers le souvenir d'esclaves affranchis (liberti) ou de citoyens libres qui appartenaient aux familles les plus célèbres du pays. Parmi ces pièces, la plus célèbre est le cippe funéraire de Cetrania Severina (première moitié du IIe siècle apr. J.C). Sur un côté du cippe nous pouvons lire un passage du testament de la prêtresse en faveur des collegia (corporations des métiers) des dendrophori, fabri et des centonari, auxquels elle fait un legs à utiliser chaque année pour des offrandes votives en l'honneur de la défunte. Aussi importante est la prescription sépulcrale de Horatius Balbus (Iersiècle av. J. C.) , dont le texte rappelle la donation de lots de terrain près de la nécropole en faveur des indigents, à l'exclusion de certaines catégories considérées pas dignes. A' remarquer sont aussi les monuments funéraires qui viennent de la nécropole de Pian di Bezzo: celui de Publius Verginius Paetus et celui de Rufus, qui représente l'un des principals attraits du musée. Parmi les pièces retrouvées dans la ville, très intéressant est le grand mosaïque de pavement polychrome appelé "Triomphe de Dionysos". A' remarquer sont aussi les pièces qui témoignent les cultes liés au panthéon olympique ( Jupiter, Minerve, Apollon) ou à la tradition italique-romaine (Spes, Dei Publici), ou au secteur orientale de la Méditerranée. Le Musée conserve un group de statues qui représentent des divinités phrygiennes et egyptiennes, et qui constituent le sanctuaire le plus important de l'Italie du Nord dédié à ces cultes. La statue de Attis est celle qui se distingue par sa beauté. Parmi les inscriptions commémoratives, certaines rappellent des membres de la famille impériale (Nerva, Trajan, Faustine Majeure, Marc Aurèle), et des célèbres personnages du pays (L. Appaeus Pudens, Aulus Pudens, C. Caesius Sabinus, S. Montanus); les inscriptions civiques rappellent la contruction de monuments et des importants travaux publics, comme l'édification des murs de défense de la ville (40-70 av. J.C.): les textes rappellent les autorités qui promurent la réalisation de l'enceinte des murs (quattuorviri iure dicundo), un architectus qui s'occupa de la construction, et les différentes parties qui composaient l'entier ouvrage (murus, valvae, portae, turres). A' l'étage supèrieur on trouve plusieurs pièces qui peuvent être attribuées au premier noyau d'implantation de Sassina (IVe-IIe siècle av.J.C.); des roches, minéraux et fossiles qui viennent de la vallée du Savio; outils d'ousage courant (vases pour la nourriture, lampes à huile, flacons pour contenir des baumes, objets d'usage personnel); un tombeau à la "capucine" reconstruit ( il s'agit d'une typologie de structure funéraire très diffusée au début de l'âge impérial); des matériaux de construction, des sections de pavages en opus signinum (une sorte de terre décorée, avec des tesselles, à motifs géométriques et floraux); des tuyauteries de plomb (fistulae). Dans la dernière salle on trouve encore des outils d'usage courant ou des objets pour la décoration des intérieurs; de la vaisselle en céramique à vernis mate (rose, rouge, orange) qui montre souvent des décorations foncées typiques de l'aire de la Romagna; des vases sigillés; des assiettes en céramique émaillée et en verre. On peut voir aussi plusieurs fragments en marbre, et des sculptures comme la tête d'une femme avec un diadème qui représente un personnage de l'entourage impérial, peut- être Livia, la femme de Auguste. A' côté il y a le portrait d'un veil homme, réalisé avec des traits très semblables, et aussi un mosaïque qui représente Hercule, un triton, un hippocampe et un daufin, qui couvrait le pavage du petit triclinium d'une maison. De la même maison on a recupéré aussi des plaques de plâtre peintes à fresque, des ustensiles de cuisine, de la vaisselle et un sevice à jeu. |
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Monumento di Publius Virginius Paetus (Ministero per i Beni e le Attività Culturali - Museo Archeologico Nazionale Sarsinate) |
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Attis (Ministero per i Beni e le Attività Culturali - Museo Archeologico Nazionale Sarsinate) |
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Date de la dernière mise à jour: 27-11-2008